Le 14 mars était organisé une journée d’action des professeurs de breton du second degré public pour peser face au rectorat au regard des menaces pesant à nouveau sur les cours d’enseignement optionnel du breton pour la rentrée prochaine et la suivante, avec un nombre important de collèges où l’option sera supprimée, et davantage encore où elle sera susceptible de l’être dans un an – environ un tiers des établissements où la langue est enseignée sous la forme de cours facultatifs.
Cette journée a eu lieu au lendemain du groupe de travail rectoral de préparation de la rentrée prochaine. Avant de nous rendre ensemble pour nous faire entendre au rectorat, nous nous étions rendus dans les locaux du SNES à Rennes, qui avait accepté de nous accueillir à cette occasion afin d’exposer plus en détail la situation et nos revendications.